Théorie intéressante dans la Presse d’aujourd’hui sur l’homonumericus, ou personnage branché grâce à son cellulaire à toute heure du jours.
“Le propre de notre société est l’individu certes, mais l’individu connecté” (…) L’individu actuel est incertain de lui-même, de sa performance, de son existence sociale. Il se cherche en permanence. Il est d’autant plus maître de lui et sûr de son existence sociale à mesure qu’il est connecté.
En serait il de même avec les carnets et logiciels sociaux? On me lis, on m’écrit, s’intéresse à moi, m’insère dans un groupe, me catégorise, on me ‘tag’… donc je suis?
Reflet d’un individu pétri de solitude? Ou simple travers technologique?
Dans mon cas, travers technologique et communimédia : besoin de partager tout ce que j’apprend.