Après un départ en duo, l’ajout et le retrait de certains membres, des shows avec plus de changement de costume qu’un défilé de mode, des branches de sapin, des alias instables et changeants, un EP garage, de la nudité passagère, des beats qui tue, des pow pow té mort, des paroles incendiaires, des drummeurs aux allures bestiales, du hip-punk, des groupies fidèles, du brisage de table, des détours en régions, du poils, du sang et de la sueur, un clip live D.I.Y., de la rotation en radio universitaire et indépendantes, des pointes all dressed, du golden dance, des articles dans des magazines obscurs et journaux de masse, de l’alcool coulant à flot, un deuxième EP indépendant qui sonne comme une tonne de brique, du délire hyperactif, des passage en télé ‚Äòcommunautaire‚Äô, des menaces de dissolutions, des freak de Montréal, des ego égosillés, du sur ton visage, du pimping de web télé, des textes qui tuent mais qui rime pas nécessairement tout le temps, de faire peur au monde, des savants fous, des petites poutines pour apporter, un album en devenir pour cette année et bien plus encore. Le band du nom d’une ville à maintenant deux ans. Ils sont toujours là et bien vivant. Une vraie machine de guerre. Joyeux anniversaire Gatineau.
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Jeudi 26 avril, Le Divan Orange, 21h00, 8$, Avec Qubiq & Drackq et Maxime Robin.